Le clavier

7 janvier 2022

Le clavier est, avec la souris, le périphérique d’entrée le plus important pour l’ordinateur. Il en existe de nombreuses versions qui, selon les préférences individuelles et les priorités d’utilisation, peuvent se différencier par quelques détails ou de manière significative. Cela vaut aussi bien pour un ordinateur de bureau que pour un ordinateur portable : Tous les claviers ne se prêtent pas de la même manière à la frappe, les fonctions supplémentaires, les raccourcis clavier et les détails ergonomiques peuvent rapidement être rentabilisés lors de l’achat d’un clavier.

Lors du choix d’un clavier approprié, il faut prendre en compte un certain nombre d’éléments, plus qu’on ne le pense au premier abord. Des facteurs tels que le design, l’équipement et bien sûr le prix jouent un rôle important. Le fait que certains utilisateurs soient encore assez critiques à l’égard de la connexion sans fil s’explique par les mauvaises expériences faites par le passé.

Les premiers claviers sans fil fonctionnaient sur la base de l’infrarouge, ce qui nécessitait un « contact visuel » permanent entre l’émetteur et le récepteur.

Comment fonctionnent les claviers traditionnels ?

Des technologies différentes sont utilisées pour les claviers, ce qui entraîne également une sensation de frappe individuelle différente. Souvent, un petit capuchon en silicone se trouve sous les touches et est responsable du contact avec une platine située en dessous. La touche cède lentement à la pression, mais de plus en plus rapidement par la suite.

Pour les claviers plats, comme ceux des ordinateurs portables, on utilise une version modifiée, appelée « technologie des ciseaux ». Celle-ci permet une course relativement courte des touches et se caractérise par une frappe plus directe. Les claviers équipés de commutateurs mécaniques pour chaque touche sont plutôt rares. Ceux-ci sont toutefois plus durables et possèdent un point de pression précis.

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La plupart des claviers du commerce utilisent la technologie dite du « dôme en caoutchouc », dans laquelle la touche appuie sur une protubérance en caoutchouc pour obtenir une frappe. Ces claviers nécessitent toutefois une pression complète sur la touche pour émettre le signal. Ce petit effort supplémentaire peut aussi facilement entraîner une fatigue de la main.

Certes, les claviers mécaniques sont généralement un peu plus chers à l’achat, mais leur qualité vaut bien le surcoût. Au lieu de se contenter de poser des couches de membranes peu coûteuses sur un tapis de caoutchouc à dôme en caoutchouc, ces périphériques de saisie offrent des touches résistantes à long terme. Cela les rend assez durables et donne également un bon feedback perceptible, qui perçoit la pression sur la touche avant qu’elle ne soit complètement enfoncée. Cela signifie que les doigts n’ont plus à faire que la moitié du travail.

Quelles sont les caractéristiques importantes ?

L’essentiel pour un clavier de qualité est la sensation d’écriture, qui doit bien sûr être la plus agréable possible. Cette sensation d’écriture subjective résulte d’une combinaison optimale de la course et du point de pression des différentes touches.

La course est la courte distance qu’une touche parcourt lorsqu’elle est enfoncée jusqu’à la butée. Il existe des touches avec une longue course et d’autres avec une course extrêmement faible. Ce dernier cas est le plus fréquent sur les ordinateurs portables.

Le point de pression est le moment où le signal de la touche est reçu par le PC. En principe, sous chaque touche d’un clavier d’ordinateur se trouve un petit ressort en plastique qui « déclenche » en quelque sorte la touche. La pression nécessaire à cet effet est appelée point de pression. Celui-ci ne doit être ni trop faible ni trop élevé.

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La disposition


Souvent, les claviers relativement étroits sont proposés avec une mise en page modifiée. Tant la touche « Entrée » que la barre d’espacement sont plus petites que sur les claviers standard, ce qui influence la sensation d’écriture.

Mais la situation est plus difficile lorsque l’espacement des touches est plus petit, ce qui augmente le risque de faire des erreurs de frappe. Lors de l’achat d’un nouveau clavier, il faut veiller à ce que la disposition allemande QWERTZ avec les Umlauts correspondants soit utilisée, en particulier sur Internet.

L’ergonomie


Pour des raisons ergonomiques, il est notamment important, lorsque l’on pose les mains sur le clavier, de plier les poignets et de laisser les coudes à angle droit. Sur les claviers ergonomiques spécialement conçus, celui-ci est incurvé. Avec un clavier droit, les tendons du poignet sont soumis à un frottement constant et peuvent facilement s’enflammer.

La même chose se produit avec les claviers hauts. De nombreux modèles sont dotés de petits pieds réglables à l’arrière, ce qui leur confère une certaine inclinaison. Cela a également un effet négatif sur les tendons et devrait être évité dans la mesure du possible.

Le type de connexion


Pour le type de connexion, on a généralement le choix entre trois possibilités : les modèles filaires, les claviers avec une connexion sans fil traditionnelle et les claviers qui se connectent par Bluetooth. En règle générale, les variantes sans fil sont les plus pratiques.

Couleur et design


Actuellement, les couleurs sombres sont à la mode. Les claviers en laque piano sont également très attrayants au premier abord. Mais ceux-ci ont l’inconvénient de laisser des traces de doigts très visibles. Les claviers en matériaux mats sont recommandés. Un repose-poignets est également très agréable pour l’utilisateur. Il offre aux mains une surface d’appui suffisante sur toute la largeur du clavier.

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Comment le clavier doit-il être nettoyé ?


Un clavier est exposé à des salissures relativement importantes lors de son utilisation. Certains modèles sont de véritables incubateurs de germes et de virus. De nombreuses bactéries se déposent par exemple sur la surface du clavier et les interstices sont un terrain presque parfait pour les germes.

La meilleure façon d’éliminer la poussière et les saletés non adhérentes est d’utiliser un pinceau ou une brosse fine. Cela permet d’atteindre les interstices des différentes touches.
Un chiffon en microfibres ou un spray à air comprimé éliminent également les salissures non adhérentes.
Pour les salissures tenaces, un nettoyant pour vitres est approprié. Les produits de nettoyage spéciaux pour les claviers conviennent également.

La poussière incrustée est éliminée par un aspirateur à main, dont la puissance peut être renforcée par un tuyau spécial qui se rétrécit à l’avant. Avant d’utiliser un aspirateur sur le clavier, il convient de vérifier si toutes les touches sont bien fixées. Si ce n’est pas le cas, les touches détachées pourraient être aspirées.


Je m'appelle Daniel et je vous souhaite la bienvenue sur Ordi-senior. Je publie régulièrement des articles sur la partie finance et voyage du site : Mes deux grandes passions ! À bientôt.

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